Le buzz c'est bien mais c'est bien mieux quand c'est bien fait. Inutile de tourner autour du pot: séduire l'internaute est une affaire compliquée. Le tout n'est pas de dire qu'il y a le faux buzz et se placer de fait comme un expert de la chose. Non le mieux c'est de laisser parler ses émotions et de se laisser guider par eux. Encore faut il savoir où les trouver. Lorsqu'avec des amis, j'ai eu cette envie de blog culturel, je me suis tout de suite dit qu'il fallait mettre les émotions à la source de tout.
Car c'est aussi comme cela que je lis les blogs : un peu à la recherche de l'émotion. D'une émotion qui me remplisse de satisfaction ou de colère. je sais que les artistes sont les producteurs les plus sûrs de ce genre de frisson. Mais serait-ce la culture ? Non, la culture c'est lourd, on sent qu'il faut des références, des lectures, l'accés semble privilégié. La culture populaire, elle, segmente. On se sent d'office exclu, voire trop bête.
Le paradoxe est là : on veut tout , tout de suite et sans filtre.
On le sait trop: les filtres sont suspects.
Alors comment faire ? Découvrir par hasard les trésors du web et utiliser les chemins de traverses : Je ne saurais pas le dire aussi bien que so inspectrice, les voix inter-sidérantes sont impénétrables et l'accès est désordonnée. J'aimerais le faire avec autant de talent que Chryde et toute son équipe de la blogotheque auquel je rends ici hommage. Je confesse l'imperfection mais je proclame le bonheur accessible à tous. Car en fait je souhaite juste vivre une émotion et la faire partager.
Céline Mastrorelli , m'est arrivée
par mail, vous savez ? Le marketing viral, l'emmetteur (trice) ne pouvait pas se douter qu'au bout de message le destinataire fairait une interview puis deux vidéos, un bonheur n'arrivant jamais seul. Je l'ai partagé avec elle et j'en suis assez fier. Avec ma maladresse j'ai réussi à dire que j'ai aimé son travail. Et j'ai simplement vécu un moment d'accomplissement rare. Le tournage de sa chanson devait commencer "chez Céleste", au piano. Finalement c'est la
guitare et cette chanson écrite par Cilamm. Je l'avais déjà volé pendant le concert, mon appareil photo avait enregistré l'arrivée au monde de ce beau bébé. Moi, j'étais aux anges, d'une mélodie et d'un texte si bien ciselé. Mais l'appareil photo ne remplace pas la caméra à Haute définition et le micro HF amène tout prés de l'oreille la voix si haute perchée dans le talent de céline.
Alors nous avons trouvé ce lieu, il était simple, il était en face...Le Troll Café. Une anti-chambre comme s'il y avait eu besoin de se cacher de la gentillesse des propriétaires du lieu. Une porte bleu qui faisait echo aux yeux vert de Céline, l'endroit était aux couleurs provencales. Le décor nous attendait. ça ne s'est pas fait tout seul. Trop doux, le lieux imposait la réverie. La concentration a mis du temps a trouver sa place. Mais une fois détendus nous avons compris que Céline voyait clair dans le jeu des femmes du 21 ème siècle et que c'était bien avec un peu de tendresse et de douceurs qu'elles voulaient parler aux hommes afin qu'il finnissent par dire:
viens... à leur tour.
Car c'est aussi comme cela que je lis les blogs : un peu à la recherche de l'émotion. D'une émotion qui me remplisse de satisfaction ou de colère. je sais que les artistes sont les producteurs les plus sûrs de ce genre de frisson. Mais serait-ce la culture ? Non, la culture c'est lourd, on sent qu'il faut des références, des lectures, l'accés semble privilégié. La culture populaire, elle, segmente. On se sent d'office exclu, voire trop bête.
Le paradoxe est là : on veut tout , tout de suite et sans filtre.
On le sait trop: les filtres sont suspects.
Alors comment faire ? Découvrir par hasard les trésors du web et utiliser les chemins de traverses : Je ne saurais pas le dire aussi bien que so inspectrice, les voix inter-sidérantes sont impénétrables et l'accès est désordonnée. J'aimerais le faire avec autant de talent que Chryde et toute son équipe de la blogotheque auquel je rends ici hommage. Je confesse l'imperfection mais je proclame le bonheur accessible à tous. Car en fait je souhaite juste vivre une émotion et la faire partager.
Céline Mastrorelli , m'est arrivée
par mail, vous savez ? Le marketing viral, l'emmetteur (trice) ne pouvait pas se douter qu'au bout de message le destinataire fairait une interview puis deux vidéos, un bonheur n'arrivant jamais seul. Je l'ai partagé avec elle et j'en suis assez fier. Avec ma maladresse j'ai réussi à dire que j'ai aimé son travail. Et j'ai simplement vécu un moment d'accomplissement rare. Le tournage de sa chanson devait commencer "chez Céleste", au piano. Finalement c'est la
guitare et cette chanson écrite par Cilamm. Je l'avais déjà volé pendant le concert, mon appareil photo avait enregistré l'arrivée au monde de ce beau bébé. Moi, j'étais aux anges, d'une mélodie et d'un texte si bien ciselé. Mais l'appareil photo ne remplace pas la caméra à Haute définition et le micro HF amène tout prés de l'oreille la voix si haute perchée dans le talent de céline.
Alors nous avons trouvé ce lieu, il était simple, il était en face...Le Troll Café. Une anti-chambre comme s'il y avait eu besoin de se cacher de la gentillesse des propriétaires du lieu. Une porte bleu qui faisait echo aux yeux vert de Céline, l'endroit était aux couleurs provencales. Le décor nous attendait. ça ne s'est pas fait tout seul. Trop doux, le lieux imposait la réverie. La concentration a mis du temps a trouver sa place. Mais une fois détendus nous avons compris que Céline voyait clair dans le jeu des femmes du 21 ème siècle et que c'était bien avec un peu de tendresse et de douceurs qu'elles voulaient parler aux hommes afin qu'il finnissent par dire:
viens... à leur tour.