par Regards égarés
VRAOUM !
Dans ma quête de l’occupation absolue, après une intense session ménage de rattrapage… (nécessaire dans mon appartement ravagé par de longs mois de négligence sanitaire), je décidais cet après-midi de partir à l’abordage d’une contrée inexplorée.
Accompagnée d’une acolyte naufragée du CAPES elle aussi, nous découvrions la Maison Rouge, actuellement investie par la bande dessinée, en une exposition intitulée “Vraoum ! trésors de la bande dessinée et art contemporain.” [Dossier de presse - format pdf]
Vous n’aurez donc aucune excuse à ne pas aller y flâner !
VRAOUM !
Dans ma quête de l’occupation absolue, après une intense session ménage de rattrapage… (nécessaire dans mon appartement ravagé par de longs mois de négligence sanitaire), je décidais cet après-midi de partir à l’abordage d’une contrée inexplorée.
Accompagnée d’une acolyte naufragée du CAPES elle aussi, nous découvrions la Maison Rouge, actuellement investie par la bande dessinée, en une exposition intitulée “Vraoum ! trésors de la bande dessinée et art contemporain.” [Dossier de presse - format pdf]
Découverte lors de mes dernières investigations informationnelles pré-CAPES, cette exposition au titre intrigant a surtout attiré mon attention via cette description alléchante :
« L’exposition VRAOUM ! présente 200 planches originales parmi les plus rares ou les plus célèbres du 9ème art face à une cinquantaine d’ œuvres d’art contemporain (peintures murales, installations, etc.) »
Je me permets de surligner ce qui m’a attirée…
Après avoir lu cela, je ne pouvais qu’aller vérifier par moi-même ! Et je dois avouer que je n’ai pas été déçue.
Après avoir lu cela, je ne pouvais qu’aller vérifier par moi-même ! Et je dois avouer que je n’ai pas été déçue.
Les points positifs sont nombreux.
Première impression à la découverte de la Fondation Antoine de Galbert : à deux pas de Bastille, le lieu paraît accueillant de prime abord. On a envie d’y pénétrer… et de se laisser guider.
Second point fort : les tarifs et la communication. 7€ ou 5€ (réduit). Compte tenu de la capacité d’accueil et de la surface d’exposition, c’est vraiment très intéressant. Le tout accompagné d’une brochure 15×10 de 22 pages de textes. Précieux sésame pour les curieux qui comme moi auront découvert de nombreux artistes et œuvres.
Enfin, le doublé gagnant muséographie-collection. On entre par un couloir accueillant, bordant une cour intérieure séduisante… pour découvrir cette salle claire et aérée, aux cimaises attirantes. L’hétérogénéité des planches et œuvres proposées donne immédiatement le ton, dans cet espace parsemé de fresques et installations hétéroclites.
Première impression à la découverte de la Fondation Antoine de Galbert : à deux pas de Bastille, le lieu paraît accueillant de prime abord. On a envie d’y pénétrer… et de se laisser guider.
Second point fort : les tarifs et la communication. 7€ ou 5€ (réduit). Compte tenu de la capacité d’accueil et de la surface d’exposition, c’est vraiment très intéressant. Le tout accompagné d’une brochure 15×10 de 22 pages de textes. Précieux sésame pour les curieux qui comme moi auront découvert de nombreux artistes et œuvres.
Enfin, le doublé gagnant muséographie-collection. On entre par un couloir accueillant, bordant une cour intérieure séduisante… pour découvrir cette salle claire et aérée, aux cimaises attirantes. L’hétérogénéité des planches et œuvres proposées donne immédiatement le ton, dans cet espace parsemé de fresques et installations hétéroclites.
Deux heures trente passées à sautiller d’une planche à une autre… chacun trouvant matière à satisfaction dans un genre ou un autre (ne s’excluant pas).
De quoi (re)trouver son âme d’enfant, de (re)découvrir les héros d’hier et d’aujourd’hui… d’aborder la bande-dessinées sous des angles multiples, des cultures différentes… et de se pâmer d’allégresse devant ses marottes. Les miennes se trouvant sous les coups de crayon de quelques Bilal, Mœbius, de Crécy, Ishinomori, Picasso, Tezuka… auxquels s’ajoutent désormais de nouvelles figures.
De quoi (re)trouver son âme d’enfant, de (re)découvrir les héros d’hier et d’aujourd’hui… d’aborder la bande-dessinées sous des angles multiples, des cultures différentes… et de se pâmer d’allégresse devant ses marottes. Les miennes se trouvant sous les coups de crayon de quelques Bilal, Mœbius, de Crécy, Ishinomori, Picasso, Tezuka… auxquels s’ajoutent désormais de nouvelles figures.
Humour, SF, mangas, comics, etc. se succèdent… jusqu’aux salles moins familiales… accueillant des œuvres plus explicites… allant de l’érotisme à la pornographie.
Les univers se croisent, les genres se complètent… sous le regard ténébreux et déroutant de Batman… tapi dans l’ombre du sous-sol des Enfers.
Une expérience qui m’a comblée… et que je vous recommande vraiment vivement et chaudement !
Libre à vous ne ne pas aimer… pour ma part je suis conquise !
Une exposition à voir/lire/feuilleter à la Maison Rouge (Paris 12ème) jusqu’au 27 septembre 2009.Libre à vous ne ne pas aimer… pour ma part je suis conquise !
Vous n’aurez donc aucune excuse à ne pas aller y flâner !
[Certaines installations m'ont vraiment fait rire... notamment, dans les dernières salles... où l'on peut rencontrer nos héros... avec quelques rides en plus, quelques kilos en trop... ou dans de drôles d'états.]
Sur ce, je vous souhaite une très belle entrée dans l’été… que j’escompte chaud, souriant et tendre… Ainsi qu’une très bonne fête de la musique !